DOPPELGANGER

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Pour cette série sur le corps, le contraste s’atténue, les lignes se dissolvent. Une forme de grain s’impose, le flou se joue du mouvement. Des traces et lacérations font irruption dans des compositions où les corps et la matière environnante s’interpénètrent, s’entrelacent pour se fondre dans une unité hypnotique. Je souhaitais que tout y soit mouvant, fluide et fugace. Capturer l’impression de ces formes, de ces corps eux-mêmes composés d’une matière instable.